Global financial and energetic crisis

Global War against terror and relation between energetic crisis

Discours du Chef Seattle "Versiòn en Francès del mensaje del jefe Seattle"


Comment pouvez-vous acheter ou vendre le ciel, la chaleur de la terre ?

L'idée nous paraît étrange. Si nous ne possédons pas la fraîcheur de l'air et le miroitement de l'eau, comment est-ce que vous pouvez les acheter ?

Chaque parcelle de cette terre est sacrée pour mon peuple.

Chaque aiguille de pin luisante, chaque rive sableuse, chaque lambeau de brume dans les bois sombres, chaque clairière et chaque bourdonnement d'insecte sont sacrés dans le souvenir et l'expérience de mon peuple.

La sève qui coule dans les arbres transporte les souvenirs de l'homme rouge.

Les morts des hommes blancs oublient le pays de leur naissance lorsqu'ils vont se promener parmi les étoiles. Nos morts n'oublient jamais cette terre magnifique, car elle est la mère de l'homme rouge. Nous sommes une partie de la terre, et elle fait partie de nous. Les fleurs parfumées sont nos soeurs; le cerf, le cheval, le grand aigle, ce sont nos frères. Les crêtes rocheuses, les sucs dans les prés, la chaleur du poney, et l'homme, tous appartiennent à la même famille.

Aussi lorsque le Grand chef à Washington envoie dire qu'il veut acheter notre terre, demande-t-il beaucoup de nous. Le Grand chef envoie dire qu'il nous réservera un endroit de façon que nous puissions vivre confortablement entre nous. Il sera notre père et nous serons ses enfants. Nous considérons donc, votre offre d'acheter notre terre. Mais ce ne sera pas facile. Car cette terre nous est sacrée.

Cette eau scintillante qui coule dans les ruisseaux et les rivières n'est pas seulement de l'eau mais le sang de nos ancêtres. Si nous vous vendons de la terre, vous devez vous rappeler qu'elle est sacrée et que chaque reflet spectral dans l'eau claire des lacs parle d'événements et de souvenirs de la vie de mon peuple. Le murmure de l'eau est la voix du père de mon père.

Les rivières sont nos frères, elles étanchent notre soif. Les rivières portent nos canoës, et nourrissent nos enfants. Si nous vous vendons notre terre, vous devez désormais vous rappeler, et l'enseigner à vos enfants, que les rivières sont nos frères et les vôtres, et vous devez désormais montrer pour les rivières la tendresse que vous montreriez pour un frère. Nous savons que l'homme blanc ne comprend pas nos mœurs. Une parcelle de terre ressemble pour lui à la suivante, car c'est un étranger qui arrive dans la nuit et prend à la terre ce dont il a besoin. La terre n'est pas son frère, mais son ennemi, et lorsqu'il l'a conquise, il va plus loin. Il abandonne la tombe de ses aïeux, et cela ne le tracasse pas. Il enlève la terre à ses enfants et cela ne le tracasse pas. La tombe de ses aïeux et le patrimoine de ses enfants tombent dans l'oubli. Il traite sa mère, la terre, et son frère, le ciel, comme des choses à acheter, piller, vendre comme les moutons ou les perles brillantes. Son appétit dévorera la terre et ne laissera derrière lui qu'un désert.

Il n'y a pas d'endroit paisible dans les villes de l'homme blanc. Pas d'endroit pour entendre les feuilles se dérouler au printemps, ou le froissement des ailes d'un insecte. Mais peut-être est-ce parce que je suis un sauvage et ne comprends pas. Le vacarme semble seulement insulter les oreilles. Et quel intérêt y a-t-il à vivre si l’homme ne peut entendre le cri solitaire de l’engoulevent ou les palabres des grenouilles autour d'un étang la nuit ? Je suis un homme rouge et ne comprends pas. L'Indien préfère le son doux du vent s'élançant au-dessus de la face d'un étang, et l'odeur du vent lui-même, lavé par la pluie de midi, ou parfumé par le pin pignon.

L'air est précieux à l’homme rouge, car toutes choses partagent le même souffle.

La bête, l'arbre, l'homme. Ils partagent tous le même souffle.

L'homme blanc ne semble pas remarquer l'air qu'il respire. Comme un homme qui met plusieurs jours à expirer, il est insensible à la puanteur. Mais si nous vous vendons notre terre, vous devez vous rappeler que l'air nous est précieux, que l'air partage son esprit avec tout ce qu'il fait vivre. Le vent qui a donné à notre grand-père son premier souffle a aussi reçu son dernier soupir. Et si nous vous vendons notre terre, vous devez la garder à part et la tenir pour sacrée, comme un endroit où même l'homme blanc peut aller goûter le vent adouci par les fleurs des prés. Nous considérerons donc votre offre d'acheter notre terre. Mais si nous décidons de l'accepter, j'y mettrai une condition : l'homme blanc devra traiter les bêtes de cette terre comme ses frères.

Je suis un sauvage et je ne connais pas d'autre façon de vivre.

J'ai vu un millier de bisons pourrissant sur la prairie, abandonnés par l'homme blanc qui les avait abattus d'un train qui passait. Je suis un sauvage et ne comprends pas comment le cheval de fer fumant peut être plus important que le bison que nous ne tuons que pour subsister.

Qu'est-ce que l'homme sans les bêtes ?. Si toutes les bêtes disparaissaient, l'homme mourrait d'une grande solitude de l'esprit. Car ce qui arrive aux bêtes, arrive bientôt à l'homme. Toutes choses se tiennent.

Vous devez apprendre à vos enfants que le sol qu'ils foulent est fait des cendres de nos aïeux. Pour qu'ils respectent la terre, dites à vos enfants qu'elle est enrichie par les vies de notre race. Enseignez à vos enfants ce que nous avons enseigné aux nôtres, que la terre est notre mère. Tout ce qui arrive à la terre, arrive aux fils de la terre. Si les hommes crachent sur le sol, ils crachent sur eux-mêmes.

Nous savons au moins ceci : la terre n'appartient pas à l'homme ; l'homme appartient à la terre. Cela, nous le savons. Toutes choses se tiennent comme le sang qui unit une même famille. Toutes choses se tiennent.

Tout ce qui arrive à la terre, arrive aux fils de la terre.

Ce n'est pas l'homme qui a tissé la trame de la vie : il en est seulement un fil. Tout ce qu'il fait à la trame, il le fait à lui-même.

Même l'homme blanc, dont le dieu se promène et parle avec lui comme deux amis ensemble, ne peut être dispensé de la destinée commune. Après tout, nous sommes peut-être frères. Nous verrons bien. Il y a une chose que nous savons, et que l'homme blanc découvrira peut-être un jour, c'est que notre dieu est le même dieu. Il se peut que vous pensiez maintenant le posséder comme vous voulez posséder notre terre, mais vous ne pouvez pas. Il est le dieu de l'homme, et sa pitié est égale pour l'homme rouge et le blanc. Cette terre lui est précieuse, et nuire à la terre, c'est accabler de mépris son créateur. Les Blancs aussi disparaîtront ; peut-être plus tôt que toutes les autres tribus. Contaminez votre lit, et vous suffoquerez une nuit dans vos propres détritus.

Mais en mourant vous brillerez avec éclat, ardents de la force du dieu qui vous a amenés jusqu'à cette terre et qui pour quelque dessein particulier vous a fait dominer cette terre et l'homme rouge. Cette destinée est un mystère pour nous, car nous ne comprenons pas lorsque les bisons sont tous massacrés, les chevaux sauvages domptés, les coins secrets de la forêt chargés du fumet de beaucoup d'hommes, et la vue des collines en pleines fleurs ternie par des fils qui parlent.

Où est le hallier ? Disparu. Où est l'aigle ? Disparu.

La fin de la vie, le début de la survivance.

Chef Seattle, 1854

Die Rede des Häuptlings Seattle "Versiòn en Alemán del mensaje del Jefe Seattle"


Der große Häuptling in Washington sendet Nachricht, daß er unser Land zu kaufen wünscht.

Der große Häuptling sendet uns auch 'Worte der Freundschaft und des guten Willens'. Das ist freundlich von ihm, denn wir wissen, er bedarf unserer Freundschaft nicht. Aber wir werden sein Angebot bedenken, denn wir wissen - wenn wir nicht verkaufen - kommt vielleicht der weiße Mann mit Gewehren und nimmt sich unser Land. Wie kann man den Himmel kaufen oder verkaufen oder die Wärme der Erde? Diese Vorstellung ist uns fremd.

Wenn wir die Frische der Luft und das Glitzern des Wassers nicht besitzen wie könnt Ihr sie von uns kaufen? Wir werden unsere Entscheidung treffen.

Was Häuptling Seattle sagt, darauf kann sich der große Häuptling in Washington verlassen, so sicher wie sich unser weißer Bruder auf die Wiederkehr der Jahreszeiten verlassen kann.

Meine Worte sind wie die Sterne, sie gehen nicht unter. Jeder Teil dieser Erde ist meinem Volk heilig, jede glitzernde Tannennadel, jeder sandige Strand, jeder Nebel in den dunklen Wäldern, jede Lichtung, jedes summende Insekt ist heilig, in den Gedanken und Erfahrungen meines Volkes. Der Saft, der in den Bäumen steigt, trägt die Erinnerung des roten Mannes.

Die Toten der Weißen vergessen das Land ihrer Geburt, wenn sie fortgehen, um unter den Sternen zu wandeln.

Unsere Toten vergessen diese wunderbare Erde nie, denn sie ist des roten Mannes Mutter. Wir sind ein Teil der Erde, und Sie ist ein Teil von uns. Die duftenden Blumen sind unsere Schwestern, die Rehe, das Pferd, der große Adler sind unsere Brüder. Die felsigen Höhen, die saftigen Wiesen, die Körperwärme des Ponys - und des Menschen - sie alle gehören zur gleichen Familie.

Wenn also der große Häuptling in Washington uns Nachricht sendet, daß er unser Land zu kaufen gedenkt, so verlangt er viel von uns. Der große Häuptling teilt uns mit, daß er uns einen Platz gibt, wo wir angenehm und für uns leben können. Er wird unser Vater und wir werden seine Kinder sein. Aber kann das jemals sein? Gott liebt Euer Volk und hat seine roten Kinder verlassen. Er schickt Maschinen, um dem weißen Mann bei seiner Arbeit zu helfen, und baut große Dörfer für ihn. Er macht Euer Volk stärker. Tag für Tag. Bald werdet Ihr das Land überfluten wie Flüsse, die die Schluchten hinabstürzen nach einem unerwarteten Regen.

Mein Volk ist wie eine ablaufende Flut - aber ohne Wiederkehr. Nein, wir sind verschiedene Rassen. Unsere Kinder spielen nicht zusammen, und unsere Alten erzählen nicht die gleichen Geschichten. Gott ist Euch gut gesinnt, und wir sind Waisen. Wir werden Euer Angebot, unser Land zu kaufen, bedenken. Das wird nicht leicht sein, denn dieses Land ist uns heilig.

Wir erfreuen uns an diesen Wäldern. Ich weiß nicht - unsere Art ist anders als die Eure.

Glänzendes Wasser, das sich in Bächen und Flüssen bewegt, ist nicht nur Wasser - sondern das Blut unserer Vorfahren. Wenn wir Euch das Land verkaufen, müßt Ihr wissen, daß es heilig ist, und Eure Kinder lehren daß es heilig ist und daß jede flüchtige Spiegelung im klaren Wasser der Seen von Ereignissen und Überlieferungen aus dem Leben meines Volkes erzählt. Das Murmeln des Wassers ist die Stimme meiner Vorväter. Die Flüsse sind unsere Brüder - sie stillen unseren Durst. Die Flüsse tragen unsere Kanus und nähren unsere Kinder.

Wenn wir unser Land verkaufen, so müßt ihr Euch daran erinnern und Eure Kinder lehren: Die Flüsse sind unsere Brüder - und Eure - und Ihr müßt von nun an den Flüssen Eure Güte geben, so wie jedem anderen Bruder auch, Der rote Mann zog sich immer zurück vor dem eindringenden weißen Mann - so wie der Frühnebel in den Bergen vor der Morgensonne weicht. Aber die Asche unserer Väter ist heilig, ihre Gräber sind geweihter Boden, und so sind diese Hügel, diese Bäume, dieser Teil der Erde uns geweiht. Wir wissen, daß der weiße Mann unsere Art nicht versteht. Ein Teil des Landes ist ihm gleich jedem anderen, denn er ist ein Fremder, der kommt in der Nacht und nimmt von der Erde, was immer er braucht. Die Erde ist sein Bruder nicht, sondern Feind, und wenn er sie erobert hat, schreitet er weiter. Er läßt die Gräber seiner Väter zurück - und kümmert sich nicht. Er stiehlt die Erde von seinen Kindern und kümmert sich nicht. Seiner Väter Gräber und seiner Kinder Geburtsrecht sind vergessen. Er behandelt seine Mutter, die Erde, und seinen Bruder, den Himmel, wie Dinge zum Kaufen und Plündern, zum Verkaufen wie Schafe oder glänzende Perlen. Sein Hunger wird die Erde verschlingen und nichts zurücklassen als eine Wüste.

Ich weiß nicht - unsere Art ist anders als die Eure. Der Anblick Eurer Städte schmerzt die Augen des roten Mannes. Vielleicht, weil der rote Mann ein Wilder ist und nicht versteht.

Es gibt keine Stille in den Städten der Weißen. Keinen Ort, um das Entfalten der Blätter im Frühling zu hören oder das Summen der Insekten.

Aber vielleicht nur deshalb, weil ich ein Wilder bin und nicht verstehe. Das Geklappere scheint unsere Ohren nur zu beleidigen. Was gibt es schon im Leben wenn man nicht den einsamen Schrei des Ziegenmelkervogels hören kann, oder das Gestreite der Frösche am Teich bei Nacht? Ich bin ein roter Mann und verstehe das nicht. Der Indianer mag das sanfte Geräusch des Windes, der über eine Teichfläche streicht - und den Geruch des Windes, gereinigt vom Mittagsregen oder schwer vom Duft der Kiefern. Die Luft ist kostbar für den roten Mann - denn alle Dinge teilen denselben Atem - das Tier, der Baum der Mensch - sie alle teilen denselben Atem. Der weiße Mann scheint die Luft. die er atmet, nicht zu bemerken; wie ein Mann, der seit vielen Tagen stirbt, ist er abgestumpft gegen den Gestank. Aber wenn wir Euch unser Land verkaufen, dürft Ihr nicht vergessen, daß die Luft uns kostbar ist, daß die Luft ihren Geist teilt mit all dem Leben, das sie enthält. Der Wind gab unseren Vätern den ersten Atem und empfängt ihren letzten. Und der Wind muß auch unseren Kindern den Lebensgeist geben. Und wenn wir euch unser Land verkaufen, so müßt Ihr es als ein besonderes und geweihtes schätzen, als einen Ort, wo auch der weiße Mann spürt, daß der Wind süß duftet von den Wiesenblumen.

Das Ansinnen, unser Land zu kaufen, werden wir bedenken und wenn wir uns entschließen anzunehmen, so nur unter einer Bedingung. Der weiße Mann muß die Tiere des Landes behandeln wie seine Brüder.

Ich hin ein Wilder und verstehe es nicht anders. Ich habe tausend verrottende Büffel gesehen, vorn weißen Mann zurückgelassen, erschossen aus einem vorbeifahrenden Zug. Ich bin ein Wilder und kann nicht verstehen, wie das qualmende Eisenpferd wichtiger sein soll als der Büffel, den wir nur töten, um am Leben zu bleiben. Was ist der Mensch ohne die Tiere? Wären alle Tiere fort, so stürbe der Mensch an großer Einsamkeit des Geistes. Was immer den Tieren geschieht - geschieht bald auch den Menschen. Alle Dinge sind miteinander verbunden.

Was die Erde befällt, befällt auch die Söhne der Erde.

Ihr müßt Eure Kinder lehren, daß der Boden unter ihren Füßen die Asche unserer Großväter ist. Damit sie das Land achten, erzählt ihnen, daß die Erde erfüllt ist von den Seelen unserer Vorfahren. Lehrt Eure Kinder, was wir unsere Kinder lehren: Die Erde ist unsere Mutter. Was die Erde befällt, befällt auch die Söhne der Erde. Wenn Menschen auf die Erde spucken, bespeien sie sich selbst. Denn das wissen wir, die Erde gehört nicht den Menschen, der Mensch gehört zur Erde - das wissen wir, Alles ist miteinander verbunden, wie das Blut, das eine Familie vereint. Alles ist verbunden. Was die Erde befällt, befällt auch die Söhne der Erde. Der Mensch schuf nicht das Gewebe des Lebens, er ist darin nur eine Faser. Was immer Ihr dem Gewebe antut das tut Ihr Euch selber an. Nein, Tag und Nacht können nicht zusammenleben. Unsere Toten leben fort in den süßen Flüssen der Erde, kehren wieder mit des Frühlings leisem Schritt, und es ist ihre Seele im Wind, der die Oberfläche der Teiche kräuselt.

Das Ansinnen des weißen Mannes, unser Land zu kaufen, werden wir bedenken.

Aber mein Volk fragt, was denn will der weiße Mann? Wie kann man den Himmel oder die Wärme der Erde kaufen - oder die Schnelligkeit der Antilope? Wie können wir Euch diese Dinge verkaufen - und wie könnt Ihr sie kaufen? Könnt Ihr denn mit der Erde tun, was Ihr wollt - nur weil der rote Mann ein Stück Papier unterzeichnet - und es dem weißen Manne gibt? Wenn wir nicht die Frische der Luft und das Glitzern des Wassers besitzen - wie könnt Ihr sie von uns kaufen? Könnt Ihr die Büffel zurückkaufen, wenn der letzte getötet ist?

Wir werden Euer Angebot bedenken. Wir wissen, wenn wir nicht verkaufen, kommt wahrscheinlich der weiße Mann mit Waffen und nimmt sich unser Land. Aber wir sind Wilde. Der weiße Mann ist vorübergehend im Besitz der Macht, glaubt, er sei schon Gott - dem die Erde gehört. Wie kann ein Mensch seine Mutter besitzen?

Wir werden Euer Angebot, unser Land zu kaufen, bedenken. Tag und Nacht können nicht zusammenleben - wir werden Euer Angebot bedenken, in das Reservat zu gehen. Wir werden abseits und in Frieden leben. Es ist unwichtig, wo wir den Rest unserer Tage verbringen.

Unsere Kinder sahen ihre Väter gedemütigt und besiegt. Unsere Krieger wurden beschämt. Nach Niederlagen verbringen sie ihre Tage müssig - vergiften ihren Körper mit süßer Speise und starkem Trunk.

Es ist unwichtig, wo wir den Rest unserer Tage verbringen. Es sind nicht mehr viele. Noch wenige Stunden, ein paar Winter - und kein Kind der großen Stämme, die einst in diesem Land lebten oder jetzt in kleinen Gruppen durch die Wälder streifen wird mehr übrig sein, um an den Gräbern eines Volkes zu trauern - das einst so stark und voller Hoffnung war wie das Eure.

Aber warum soll ich trauern über den Untergang meines Volkes, Völker bestehen aus Menschen - nichts anderem. Menschen kommen und gehen wie die Wellen im Meer. Selbst der weiße Mann, dessen Gott mit ihm wandelt und redet, wie Freund zu Freund kann der gemeinsamen Bestimmung nicht entgehen. Vielleicht sind wir doch Brüder. Wir werden sehen.

Eines wissen wir, was der weiße Mann vielleicht eines Tages erst entdeckt - unser Gott ist derselbe Gott. Ihr denkt vielleicht, daß Ihr ihn besitzt - so wie Ihr unser Land zu besitzen trachtet - aber das könnt Ihr nicht. Er ist der Gott der Menschen - gleichermaßen der Roten und der Weißen. Dieses Land ist ihm wertvoll - und die Erde verletzen heißt ihren Schöpfer verachten.

Auch die Weißen werden vergehen, eher vielleicht als alle anderen Stämme. Fahret fort, Euer Bett zu verseuchen, und eines Nachts werdet Ihr im eigenen Abfall ersticken. Aber in Eurem Untergang werdet ihr hell strahlen - angefeuert von der Stärke des Gottes, der Euch in dieses Land brachte - und Euch bestimmte, über dieses Land und den roten Mann zu herrschen. Diese Bestimmung ist uns ein Rätsel. Wenn die Büffel alle geschlachtet sind - die wilden Pferde gezähmt - die heimlichen Winkel des Waldes, schwer vom Geruch vieler Menschen - und der Anblick reifer Hügel geschändet von redenden Drähten - wo ist das Dickicht - fort, wo der Adler - fort, und was bedeutet es, Lebewohl zu sagen dem schnellen Pony und der Jagd:

Das Ende des Lebens und den Beginn des Überlebens. Gott gab Euch Herrschaft über die Tiere, die Wälder und den roten Mann, aus einem besonderen Grund - doch dieser Grund ist uns ein Rätsel. Vielleicht könnten wir es verstehen wenn wir wüßten. wovon der weiße Mann träumt - welche Hoffnungen er seinen Kindern an langen Winterabenden schildert - und welche Visionen er in ihre Vorstellungen brennt, so daß sie sich nach einem Morgen sehnen. Aber wir sind Wilde - die Träume des weißen Mannes sind uns verborgen. Und weil sie uns verborgen sind, werden wir unsere eigenen Wege gehen. Denn vor allem schätzen wir das Recht eines jeden Menschen so zu leben, wie er selber es wünscht - gleich wie verschieden von seinen Brüdern er ist.

Das ist nicht viel was uns verbindet.

Wir werden Euer Angebot bedenken. Wenn wir zustimmen, so nur, um das Reservat zu sichern, das ihr versprochen habt. Dort vielleicht können wir unsere kurzen Tage auf unsere Weise verbringen.

Wenn der letzte rote Mann von dieser Erde gewichen ist und sein Gedächtnis nur noch der Schatten einer Wolke über der Prärie, wird immer noch der Geist meiner Väter in diesen Ufern und diesen Wäldern lebendig sein. Denn sie liebten diese Erde, wie das Neugeborene den Herzschlag seiner Mutter.

Wenn wir Euch unser Land verkaufen, liebt es, so wie wir es liebten, kümmert Euch, so wie wir uns kümmerten, behaltet die Erinnerung an das Land, so wie es ist, wenn Ihr es nehmt. Und mit all Eurer Stärke, Eurem Geist, Eurem Herzen, erhaltet es für Eure Kinder und liebt es - so wie Gott uns alle liebt. Denn eines wissen wir - unser Gott ist derselbe Gott. Diese Erde ist ihm heilig. Selbst der weiße Mann kann der gemeinsamen Bestimmung nicht entgehen. Vielleicht sind wir doch - Brüder. Wir werden sehen.

"Mensaje jefe Seattle --- Versiòn en Portuguès" Mensagem do Índio Chefe Seattle

"Manifesto da Terra-Mãe"
Já passaram muitos anos desde que foi escrita, apesar disso, a carta que se
segue, não só continua actual como consubstancia uma crescente preocupação do
homem de hoje.
Foi em 1854 que o chefe Seattle, da tribo Suquamish, do Estado de Washington,
depois de o Governo norte americano ter proposto a compra do território ocupado
por aqueles índios, respondeu ao presidente dos Estados Unidos endereçando-lhe a
missiva que se anexa.
A mesma foi divulgada pela UNESCO em 1976, quando das comemorações do Dia
Mundial do Ambiente.
Não está desfasada das nossas preocupações estéticas e culturais a questão
ambiental ainda que esta temática tenha campo próprio, assim nesse contexto e
ainda pela beleza do texto aqui lhe disponibilizamos a carta.
Quinhentos anos depois da chegada de Pedro Alvares Cabral a Porto Seguro no
Brasil, a preocupação do chefe Seattle natural que era daquele continente, e sem
pretender alimentar polémicas de qualquer espécie, revelou então uma preocupação
à qual felizmente cada vez mais homens e mulheres de hoje, independentemente do
credo filosófico ou religioso com que se identificam, da raça ou do continente
em que se inseram, dão maior importância. E a causa ecológica passou a ser causa
dos povos, e não só do chefe índio.
Ao Chefe Seattle coube a gloria de com o seu perspicaz olhar de homem selvagem,
como ele próprio se intitula , habituado que estava a visualizar o horizonte em
busca de bisontes, que alimentassem a sua tribo, ter vislumbrado antes de todos
a importância da terra mãe para o homem. E viu com o seu arguto olhar que a
terra é nossa mãe e o sol nosso pai, e que podem um dia zangar-se!

"Como podeis comprar ou vender o céu, o calor da terra? A ideia não tem sentido
para nós.
Se não somos donos da frescura do ar ou o brilho das águas, como podeis querer
comprá-los? Qualquer parte desta terra é sagrada para meu povo. Qualquer folha
de pinheiro, cada grão de areia nas praias, a neblina nos bosques sombrios, cada
monte e até o zumbido do insecto, tudo é sagrado na memória e no passado do meu
povo. A seiva que percorre o interior das árvores leva em si as memórias do
homem vermelho.
Os mortos do homem branco esquecem a terra onde nasceram, quando empreendem as
suas viagens entre as estrelas; ao contrário os nossos mortos jamais esquecem
esta terra maravilhosa, pois ela é a mãe do homem vermelho.
Somos parte da terra e ela é parte de nós.
As flores perfumadas são nossas irmãs, os veados, os cavalos a majestosa águia,
todos nossos irmãos. Os picos rochosos, a fragrância dos bosques, o calor do
corpo do cavalo e do homem, todos pertencem à mesma família.
Assim, quando o grande chefe em Washington envia a mensagem manifestando o
desejo de comprar as nossas terras, está a pedir demasiado de nós. O grande
Chefe manda dizer ainda que nos reservará um sítio onde possamos viver
confortavelmente uns com os outros. Ele será então nosso pai e nós seremos seus
filhos. Se assim é, vamos considerar a sua proposta sobre a compra de nossa
terra. Isto não é fácil, já que esta terra é sagrada para nós.
A límpida água que corre nos ribeiros e nos rios não é apenas água, mas o sangue
de nossos antepassados. Se lhes vendermos a terra, recordar-se-á e lembrará aos
vossos filhos que ela é sagrada, e que cada reflexo nas claras aguas evoca
eventos e fases da vida do meu povo. O murmúrio das águas é a voz do pai do meu
pai.
Os rios são nossos irmãos, e saciam a nossa sede. Levam as nossas canoas e
alimentam os nossos filhos. Se lhes vendermos a terra, deveis lembrar e ensinar
aos vossos filhos que os rios são nossos irmãos, e também o são deles, e deveis
a partir de então dispensar aos rios o mesmo tratamento e afecto que dispensais
a um irmão.
Nós sabemos que o homem branco não entende o nosso modo de ser. Ele não sabe
distinguir um pedaço de terra de outro qualquer, pois é um estranho que vem de
noite e rouba da terra tudo de que precisa. A terra não é sua irmã, mas sua
inimiga, depois de vencida e conquistada, ele vai embora, à procura de outro
lugar. Deixa atrás de si a sepultura de seus pais e não se importa. A cova de
seus pais é a herança de seus filhos, ele os esquece. Trata a sua mãe, a terra,
e seu irmão, o céu, como coisas que se compram, como se fossem peles de
carneiro ou brilhantes contas sem valor. O seu apetite vai exaurir a terra,
deixando atrás de si só desertos. E isso eu não compreendo.
O nosso modo de ser é completamente diferente do vosso. A visão de vossas
cidades faz doer os olhos do homem vermelho.
Talvez seja porque o homem vermelho é um selvagem e não compreende...
Nas cidades do homem branco não há um só lugar onde haja silêncio, paz. Um só
lugar onde ouvir o desabrochar das folhas na primavera, o zunir das asas de um
insecto. Talvez seja porque sou um selvagem e não possa compreender.
O vosso ruído insulta os nossos ouvidos. Que vida é essa onde o homem não pode
ouvir o pio solitário da coruja ou o coaxar das rãs nas margens dos charcos e
ribeiros ao cair da noite? O índio prefere o suave sussurrar do vento esfolando
a superfície das águas do lago, ou a fragrância da brisa, purificada pela chuva
do meio dia e aromatizada pelo perfume dos pinhais.
O ar é inestimável para o homem vermelho, pois dele todos se alimentam. Os
animais, as árvores, o homem, todos respiram o mesmo ar. O homem branco parece
não se importar com o ar que respira. Como um cadáver em decomposição, ele é
insensível ao mau cheiro. Mas se vos vendermos nossa terra, deveis recordar que
o ar é precioso para nós, que o ar insufla seu espírito em todas as coisas que
dele vivem. O vento que deu aos nossos avós o primeiro sopro de vida é o mesmo
que lhes recebe o último suspiro.
Se vendermos nossa terra a vós, deveis conservá-la à parte, como sagrada, como
um lugar onde mesmo um homem branco possa ir saborear a brisa aromatizada pelas
flores dos bosques.
Por tudo isto consideraremos a vossa proposta de comprar nossa terra.
Se nos decidirmos a aceitá-la, eu porei uma condição: O homem branco terá que
tratar os animais desta terra como se fossem seus irmãos.
Sou um selvagem e não compreendo outro modo de vida. Tenho visto milhares de
bisontes apodrecendo nas pradarias, mortos a tiro pelo homem branco de um
comboio em andamento.
Sou um selvagem e não compreendo como o fumegante cavalo de ferro possa ser mais
importante que o bisonte, que nós caçamos apenas para sobreviver.
Que será dos homens sem os animais? Se todos os animais desaparecem, o homem
morrerá de solidão espiritual. Porque o que suceder aos animais afectará os
homens. Tudo está ligado.
Deveis ensinar a vossos filhos que o solo que pisam são as cinzas de nossos avós.
Para que eles respeitem a terra, ensina-lhes que ela é rica pela vida dos
seres de todas as espécies. Ensinai aos vossos filhos o que nós ensinamos aos
nossos: Que a terra é a nossa mãe. Quando o homem cospe sobre a terra, cospe
sobre si mesmo. De uma coisa nós temos certeza: A terra não pertence ao homem
branco; o homem branco é que pertence à terra. Disso nós temos a certeza. Todas
as coisas estão relacionadas como o sangue que une uma família. Tudo está
associado. O que fere a terra fere também aos filhos da terra.
O homem não tece a teia da vida: é antes um dos seus fios. O que quer que faça a
essa teia, faz a si próprio.
Nem mesmo o homem branco, cujo Deus passeia e fala com ele como um amigo, não
pode fugir a esse destino comum. Por fim talvez, e apesar de tudo, sejamos
irmãos.
Uma coisa sabemos, e que talvez o homem branco venha a descobrir um dia: o nosso
Deus é o mesmo Deus.
Hoje pensais que Ele é só vosso, tal como desejais possuir a terra, mas não
podeis. Ele é o Deus do homem e sua compaixão é igual tanto para o homem branco,
quanto para o homem vermelho.
Esta terra tem um valor inestimável para Ele, e ofender a terra é insultar o seu
Criador. Também os brancos acabarão um dia talvez mais cedo do que todas as
outras tribos. Contaminai os vossos rios e uma noite morrerão afogados nos
vossos resíduos.
Contudo, caminhareis para a vossa destruição, iluminados pela força do Deus que
vos trouxe a esta terra e por algum desígnio especial vos deu o domínio sobre
ela e sobre o homem vermelho. Este destino é um mistério para nós, pois não
compreendemos como será no dia em que o último bisonte for dizimado, os cavalos
selvagens domesticados, os secretos recantos das florestas invadidos pelo odor
do suor de muitos homens e a visão das brilhantes colinas bloqueada por fios
falantes. Onde está o matagal? Desapareceu. Onde está a águia? Desapareceu.
Termina a vida começa a sobrevivência."

Arboles Excepcionales

Arbres exceptionnels-1- 1 [1] pps A

Chief Seattle’s Message "Versiòn en Inglès del Mensaje del Jefe Seattle"


The Great Chief in Washington sends word that he wishes to buy our land.

The Great Chief also sends us words of friendship and good Will. This is kind of him, since we know he has little need of our friendship in return. But we will consider your offer. For we know that if we do not sell, the white man may come with guns and take our land.

How can you buy or sell the sky, the warmth of the land? The idea is strange to us.

If we do not own the freshness of the air and the sparkle of the water, how can you buy them?

Every part of this earth is sacred to my people. Every shining pine needle, every sandy shore, every mist in the dark woods, every clearing and humming insect is holy in the memory and experience of my people. The sap which courses through the trees caries the memories of the red man.

The white man's dead forget the country of their birth when they go to walk among the stars. Our dead never forget this beautiful earth, for it is the mother of the red man. We are part of the earth and it is part of us. The perfumed flowers are our sisters; the deer, the horse, the great eagle, these are our brothers. The rocky crests, the juices in the meadows, the body heat of the pony, and man -- all belong to the same family.

So, when the Great Chief in Washington sends word that he wishes to buy our land, he asks much of us. So, the Great Chief sends word he will reserve us a place so that we can live comfortably to ourselves. He will he our father and we will be his children. So we will consider your offer to buy our land. But it will not be easy. For this land is sacred to us.

This shining water that moves in the streams and rivers is not just water but the blood of our ancestors. If we sell you land, you must remember that it is sacred, and you must teach your children that it is sacred, and that each ghostly reflection in the clear water of the lake tells of events and memories in the life of my people. The water's murmur is the voice of my fathers father. The rivers are our brothers, they quench our thirst. The rivers carry our canoes, and feed our children. If we sell you our land, you must remember, and teach your children, that the rivers are our brothers, and yours, and you must henceforth give the rivers the kindness you would give any brother.

The red man has always retreated before the advancing White man, as the mist of the mountain runs before the morning sun. But the ashes of our fathers are sacred. Their graves are holy ground, and so these hills, these trees, this portion of earth is consecrated to us. We know that the white man does not understand our ways. One portion of land is the same to him as the next, for he is a stranger who comes in the night and takes from the land whatever he needs. The earth is not his brother, but his enemy, and when he has conquered it, he moves on. He leaves his fathers graves behind, and he does not care. He kidnaps the earth from his children. He does not care. His fathers graves and his children's birthright are forgotten. He treats his mother the earth, and his brother, the sky as things to be bought, plundered, sold like sheep or bright heads. His appetite will devour the earth and leave behind only a desert.

I do not know. Our ways are different from your ways. The sight of your cities pains the eyes of the red man. But perhaps it is because the red man is a savage and does not understand.

There is no quiet place in the white man's cities. No place to hear the unfurling of leaves in spring or the rustle of insects' wings. But perhaps it is because I am a savage and do not understand. The clatter only seems to insult the ears. And what is there to life if a man cannot hear the lonely cry of the whippoorwill or the arguments of the frogs around a pond at night? I am a red man and do not understand. The Indian prefers the soft sound of the wind darting over the face of a pond, and the smell of the wind itself, cleansed by a midday rain, or scented with the pinon pine.

The air is precious to the red man, for all things share the same breath -- the beast, the tree, the man, they all share the same breath. The white man does not seem to notice the air he breathes, Like a man dying for many days, he is numb to the stench. But if we sell you our land, you must remember that the air is precious to us, that the air shares its Spirit with all life it supports. The wind that gave our grandfather his first breath also receives his last sigh. And the wind must also give our children the spirit of life. And if we sell you our land, you must keep it apart and sacred, as a place where even the white man can go to take the wind that is sweetened by the meadow's flowers.

So we will consider your offer to buy our land. If we decide to accept, I will rank one condition: The white man must treat the beasts of this land as his brothers.

I am a savage and do not understand any other way. I have seen a thousand rotting buffaloes on the prairie, left by the white man who shot them from a passing train. I am a savage and I do not understand how the smoking iron horse can be more important than the buffalo that we kill only to stay alive.

What is man without the beasts? If all the beasts were gone, men would die from a great loneliness of spirit. For whatever happens to the beasts, soon happens to man. All things are connected.

You must teach your children that the ground beneath their feet is the ashes of our grandfathers. So that they will respect the land, tell your children that the earth is rich with the lives of our kin. Teach your children what we have taught our children, that the earth is our mother. Whatever befalls the earth, befalls the sons of the earth. If men spit upon the ground they spit upon themselves.

This we know. The earth does not belong to man. man belongs to the earth. This we know. All things are connected like the blood which unites one family, All things are connected.

Whatever befalls the earth befalls the sons of the earth. Man did not weave the web of life; he is merely a strand in it. Whatever he does to the web, he does to himself.

But we wilI consider your offer to go to the reservation you have for my; People. We will live apart, and in peace. It matters little Where we spend the rest of our days. Our children have seen their fathers humbled in defeat. Our warriors have felt shame, and after defeat they turn their days in idleness and contaminate thieir bodies with sweet foods and strong drink. It matters little where we pass the rest of our days. They are not many. A few more hours, a few more winters, and none of the children of the great tribes that once lived on this earth or that roam now in small bands in the woods will be left to mourn the graves of a people once as powerful and hopeful as yours. But why should I mourn the passing of my people? Tribes are made of men, nothing more. Men come and go like the waves of the sea.

Even the White man, whose God walks and talks with him as fritnd to friend, cannot be exempt from the common destiny. We may be brothers after all; we shall see. One thing we know, which the white man may one day discover: our God is the same God. You may think now that you own him as you wish to own our land; but you cannot. He is the God of man, and his compassion is equal for the red man and the white. This earth is precious to him, and to harm the earth is to heap contempt on its Creator. The white too shall pass; perhaps sooner than all other tribes. Continue to contaminate your bed, and you will one night suffocate in your own waste.

But in your perishing you wiIl shine brightly, fired by the strength of the God who brought you to this Iand and for some speciaI purpose gave you dominion over this Iand and over the red man. That destiny is a mystery to us, for we do not understand when the buffalo are all sIaughtered, the wild horses are tamed, the secret corners of the forest heavy with the scent of many men, and the view of the ripe hills blotted by talking wires. Where is the thicket? Gone. Where is the eagle Gone. And What is it to say goodbye to the swift pony and the hunt? The end of living and the beginning of survival.

So we will consider your offer to buy our land. If we agree, it wiIl be to secure the reservation you have promised. There, perhaps, we may live out our brief days as we wish. When the last red man has vanished from this earth, and his memnory is only the shadow of a cloud moving across the prairie, these shores and forests will still hold the spirits of my people. For they love this earth as the newborn loves its mother's heartbeat. So if we sell you our land, love it as we've loved it. Care for it as we’ve cared for it. Hold in your mind the memory of the Iand as it is when you take it. And with all your strength, with all your mind, with all your heart, preserve it for your children. and love it . . . as God loves us all.

One thing we know. Our God is the same God. This earth is precious to him. Even the white man cannot be exempt from the common destiny. We may be brothers after all. We shall see.

Guerra en el Congo


El Teléfono celular "El ataud del Congo"
Se venden millones. Parecen la tecnología más eficiente, “imprescindible”, inofensiva. Su propaganda con modelos publicitarios está siempre en todo medio de difusión masiva. Parece que no hay nada malo en tenerlos, regalarlos” Pero muchos podemos ser sin querer cómplices de los que están destruyendo a la segunda área verde del planeta después del también amenazado Amazonas: las selvas y bosques del Congo, centro enorme de biodiversidad y hogar de innumerables especies, ahora severamente amenazadas. Este informe explica por qué. La tragedia que se oculta detrás de los teléfonos celulares.

Las montañas orientales del Congo son una región de diversidad biológica inmensa donde viven animales en mucho peligro de extinción (hipopótamo, rinoceronte, bonobo, okapi, y uno de nuestros parientes más cercanos: el gorila de montaña (Gorilla beringei). El Parque Nacional de Virunga y sus zonas aledañas, de este lugar estamos hablando, eran hasta hace poco uno de los lugares más bellos y luminosos de la Tierra, un paraíso, pero la codicia de algunos hombres y de empresas multinacionales, pueden acabar rápida y definitivamente con este paraíso y, por supuesto, con el legendario gorila de montaña (a cuyo servicio y estudio, en ese lugar, estuvo dieciocho años la célebre zoóloga Dian Fossey, hasta que fue asesinada).



Coltán y niobio. ¿Qué son? Cobalto y uranio son mas conocidos. Mas todavía: oro, diamantes, cobre y estaño. Son todos minerales que hay en las montañas de esta región de la República Democrática del Congo (RDC), en áreas que por ser parques nacionales - declarados Patrimonio de la Humanidad por la UNESCO - deberían ser zonas protegidas.



Pero no lo son (aunque algunos fueron asesinados por defenderlas, sólo en el Volcán Virunga mataron casi cien guardaparques), y la desolación que cada vez hay mas en el lugar hace ver la crueldad de estas multinacionales y la hipocresía internacional “que se lava las manos en vez de elegir el cuidado de la vida en vez del “progreso” comercial tecnológico.



¿Para qué se usan los cuatro primeros minerales que nombramos?. El coltan, abreviatura de colombio - tantalio, está en algunos suelos de una antigüedad de tres mil millones de años, como aquellos de la región del Valle de la Hendidura de África. Se usa con el niobio para fabricar los condensadores para manejar el flujo eléctrico de los teléfonos celulares. Los otros dos, cobalto y uranio, son elementos esenciales para las industrias nuclear, química, aerospacial y de armas de guerra. Los dos primeros prácticamente sólo se encuentran en esta región del mundo (alrededor del 80% de las reservas mundiales de coltán están en el Congo).



Por el control - sobre todo - de estos cuatro minerales escasos hay en África una guerra tremenda. Desde 1996, esta nación vive una tragedia donde (según Amnistía Internacional) ya murieron más de 3,9 millones de personas por las invasiones y guerras patrocinadas por los poderes multinacionales para controlar la minería de la región.



El motivo del genocidio es estos minerales que buscan las corporaciones. En 1996, EE.UU. patrocinó una invasión de fuerzas militares de las vecinas Rwanda y Uganda. Hacia 1998 tomaron el control y ocuparon las áreas mineras estratégicas. Muy pronto, el ejército rwandés comenzó a ganar más de 20 millones de dólares por mes con la minería del coltán. Aunque el precio del metal ha caído, Rwanda mantiene su monopolio de la explotación y comercio del metal del Congo. Hay cientos de informes sobre abusos de los derechos humanos en esa región minera. El coltán sale de las minas a puestos comerciales clave, donde lo compran mercaderes extranjeros que lo envían al exterior, principalmente a través de Rwanda. Las empresas con capacidad tecnológica suficiente convierten al coltán en el codiciado tantalio en polvo y lo venden a Nokia, Motorola, Compaq, Sony y a otros fabricantes que lo usan en teléfonos celulares y otros aparatos de tecnología “de punta”.



El periodista Keith Harmon Snow, de Z-Magazine, enfatizó en un artículo reciente que cualquier análisis geopolítico del Congo y de las razones por las que viene sufriendo una guerra casi inacabable desde 1996, requiere una comprensión del crimen organizado por negocios multinacionales. La guerra del Congo se formó con las inversiones de corporaciones multinacionales de EE.UU., Alemania, China y Japón en la región, sus ejércitos y los cuerpos supra - gubernamentales que los apoyan.



Según Snow el proceso está apoyado en todos los niveles por las más grandes corporaciones, que incluyen a la Cabot Corporation y al OM Group, de EE.UU; a la HC Starck de Alemania; y a Nigncxia, de China. Todas éstas tienen vínculos con el Panel de Expertos de Naciones Unidas para las atrocidades en la RDC. Las redes criminales preparadas y mantenidas por esas compañías multinacionales hacen extorsión, soborno, violación y matanzas.



Esas corporaciones tienen beneficios sin precedentes con la minería del Congo - hasta 6 millones de dólares en cobalto crudo salen a diario de la RDC-, pero casi nunca se menciona a estas compañías mineras en los informes sobre derechos humanos.



Un trabajo de otro periodista que usa el seudónimo Sprocket dice que Sam Bodman, ejecutivo máximo de Cabot durante el boom del coltán, fue llamado por el Presidente Bush en diciembre de 2004 para ser Secretario de Energía. Bajo la dirección de Bodman, de 1987 a 2000, Cabot fue una de las más grandes contaminadoras de EE.UU, lanzando 60.000 toneladas anuales de emisiones tóxicas transportadas por el aire.



Keith Harmon Snow añadió que Nicole Seligman, vicepresidenta ejecutiva y consejera general de Sony, fue consejera legal de Bill Clinton. Muchos que alcanzaron posiciones de poder en la administración Clinton pasaron a puestos altos en Sony Corporation.



Un artículo reciente firmado por Snow y David Barouski, detalla el tejido de corrupción estadounidense y los variados conflictos de interés entre corporaciones mineras como Barrick Gold (la misma que con el apoyo del gobernador Gioja llegó hace poco a la provincia argentina de San Juan) y el gobierno de EE.UU bajo George Bush (padre), Bill Clinton y George W. Bush.



En todo esto participan también distribuidores norteamericanos de armas como Simax y las compañías que fabrican material de guerra para el Pentágono, llamadas “proveedores de Defensa” como Lockheed Martin, Halliburton, Northrop Grumman, GE, Boeing, Raytheon y Bechtel.



También participan las organizaciones pseudo humanitarias como CARE, que es financiada por Lockheed Martin; el Comité de Rescate Internacional (International Rescue Committe), que tiene a Henry Kissinger en su consejo de inspectores; “Conservation”, cuyos intereses mantienen la vanguardia en la penetración occidental en África Central; y empresas de relaciones públicas y grandes medios de comunicación de circulación nacional como The New York Times.



Sprocket cerró su artículo sobre el genocidio y la tragedia ambiental del Congo señalando que no es sorprendente que esta información no esté incluida en los folletos y manuales que vienen con los teléfonos celulares, computadoras o joyas de diamante. Los teléfonos móviles -sugiere Sprocket- deberían traer etiquetas en rojo que dijeran:



“¡Advertencia!: Este artificio se creó con materiales crudos del África central, minerales raros, no renovables, vendidos para consolidar una guerra sangrienta de ocupación que también ha causado la eliminación virtual de especies expuestas en peligro de extinción. Cuando usted compre un teléfono celular, sepa lo que está comprando. ¡Que tenga un buen día!”



La gente necesita comprender - dice Sprocket- que hay una relación directa entre estos aparatos cada vez más “avanzados” que hacen más cómodas y modernas nuestras vidas, y la violencia, desorden y destrucción que están arruinando este mundo.



Actualización de Sprocket



Hay grandes fortunas que se han hecho fabricando electrónica de alta tecnología, vendida a conveniencia para que la disfruten los consumidores norteamericanos y europeos, los japoneses y los ricos y los “nuevos ricos” de Latinoamérica, China y la India, pero ¿a qué costo? Los conflictos en África se tapan con la desinformación, en EEUU y a otros intereses occidentales rutinariamente se les baja el perfil o se omiten en los grandes medios de comunicación corporativos.



El 5 de junio de 2006, la historia de tapa de la revista Time titulada “Congo: El Peaje Oculto de la Guerra más Mortal del Mundo” no fue ninguna excepción. Aunque el artículo mencionó brevemente al coltán y su uso en los teléfonos celulares y en otros aparatos electrónicos, no dijo nada sobre el resultado de ésta y otras materias primas de la región en que se hace esta guerra. La historia periodística describió la guerra como una tragedia lastimosa y horrible, pero sin decir nada de las actividades de las corporaciones y de los gobiernos extranjeros que formaron la violencia, ni de los que sacan de esta guerra resultados financieros y políticos muy convenientes para ellos.



En un artículo escrito por Johann Hari y publicado por The Hamilton Spectator el 13 de mayo de 2006, los medios de comunicación corporativos dieron un paso en dirección a la verdadera razón de la tremenda cantidad de cadáveres que continúan amontonándose en la República Democrática del Congo: “El único cambio a través de las décadas ha sido cuales recursos naturales se sacan para consumo occidental: caucho bajo los belgas, diamantes bajo Mobutu y ahora coltán y casiterita”.



Lo más perturbador de todo esto en los medios de comunicación corporativos es que no dicen nada de que este conflicto llevó a la población nativa a una vida no-humana. Incluso, reconociendo la importancia del mantenimiento de las especies en peligro, como el gorila de las tierras bajas orientales, casi llevado a la extinción por la cacería, se considera muy poco la pérdida del hábitat de los lugareños desplazados de sus aldeas por la guerra, ni el aspecto ambiental de la historia.



El próximo paso, una vez entendida la explotación y la violencia introducida entre los habitantes de África central, es responsabilizar a corporaciones como Sony y Motorola de alimentar con el hambre y la destrucción los juguetes de alta tecnología que consumen EEUU. y las clases opulentas del Mundo. Estas corporaciones no desean movimientos de protesta que empañen sus reputación. Y sobre todo, tampoco desean llamar la atención hacia el coltán que mata a los gorilas, ni sobre las guerrillas que subvenciona.



Esta civilización moderna tiene que darle más valor a los seres vivientes, sean gorilas o humanos, que son afectados por la fabricación de los juguetes habituales de alta tecnología, como los teléfonos celulares. Hay que exigirle una existencia más compasiva a las empresas corporativas que crean mercados destructivos, y al sistema de medios de comunicación que ha fabricado nuestro consentimiento.



No se trata de cuestionar el uso de los teléfonos celulares (aunque ésa sería una gran solución). Lo que debemos cuestionar es la apropiación de nuestro planeta por un modelo que consume los recursos, en vez de respetar la vida de los hogares y las comunidades.
Fuente: http://www.portaldelmedioambiente.com/2007/06/06/el-telefono-celular-ataud-del-congo/

Universo

Vídeo Planeta Tierra

Planeta Tierra

Tu puedes --- You Can

You Can
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FIn del Petroleo

Su demanda aumenta mas que su oferta y su agotamiento está próximo.
mas información en :
http://petroleoendeclinacion.blogspot.com/

El arte del reciclaje. Interesante presentaciòn alusiva al consumo abusivo.

Adivina
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Cómo aprovechar el agua de lluvia

Cómo aprovechar el agua de lluvia

Aproximadamente sólo la mitad del agua que utilizamos en el hogar es necesario que resulte potable. El resto, es decir, la que usamos en la lavadora, la cisterna del inodoro o el riego, puede provenir del agua de lluvia si se instala el sistema adecuado para su aprovechamiento, una forma eficaz para ahorrar y combatir la sequía.
Tradicionalmente el agua que empleamos en nuestros hogares ha provenido de la red de suministro. Un suministro que tal como nos recuerdan periódicamente las facturas no resulta gratuito y que, en el caso de muchas partes de España ( especialmente en su vertiente mediterránea) exige unos recursos hídricos cada vez más difíciles de obtener. Con un consumo medio de unos 150 litros diarios por habitante resulta imprescindible que tomemos medidas de ahorro.
Una medida muy eficaz está en el aprovechamiento del agua de lluvia. Recoger el agua de los tejados - relativamente limpia en comparación con otras fuentes- permite servirse de un recurso que habitualmente es desaprovechado. En países del Norte de Europa como Alemania se trata de una solución cada vez más extendida, tanto en bloques de viviendas como en casas unifamiliares. En muchas regiones del Tercer Mundo también resulta un sistema de gran ayuda, ante la insuficiente infraestructura de potabilización y suministro de agua.
En España diversos ayuntamientos subvencionan o exigen en sus ordenanzas que las viviendas dispongan de esos sistemas de aprovechamiento, y desde el pasado 17 de abrildel 2008 la Xunta de Galicia establece que todas las viviendas nuevas que se construyan en dicha comunidad deberán instalar un sistema de recogida, almacenaje y depuración del agua de lluvia para su reutilización doméstica. El coste del equipamiento requerido está en torno a los 2.000 euros por vivienda y puede ir unido a un sistema de reutilización de las agua grises, que limpia el agua ya usada en la casa para volver a emplearla en los usos que no requieran agua potable.
Instalación
Este sistema consiste en conectar los canalones del tejado a un depósito, a través de un sistema de filtrado para eliminar impurezas. El depósito debe contar un sistema de gestión del agua conectado también a la red general de suministro que permita reutilizar ese agua en la vivienda sin peligro de que nunca llegue a interrumpirse el flujo en caso de que paso mucho tiempo sin llover, así como verter el agua sobrante cuando el depósito esté lleno. Por último una bomba permitirá utilizar ese agua en la cisterna del baño, las bocas de riego del jardín y la tomad e agua de la lavadora.
Antes de llevar a cabo la instalación de este sistema hay que averiguar cual es la frecuencia de lluvias en la zona en la que vivamos, pero si calculamos una media anual de 600 litros por metro cuadrado, en un tejado de 100 m2 y con un aprovechamiento estimado del 80%, se podría llegar a obtener unos 48.000 litros de agua anuales. Una cantidad apreciable que permitirá amortizar el coste de la instalación al cabo de unos años.
Hay diversas compañías que ofrecen la instalación de este sistema, como Grafiberica, que ofrece diversos modelos de contenedor de agua subterráneos o bien para colocar en el jardín, con formas decorativas como por ejemplo ánforas. Otras compañías ofertan modelos más originales como las hidropiedras, un depósito de hasta 500 litros de capacidad con forma de piedra para decorar el jardín, y que permite usar ese agua para el riego o para lavar el coche.

Energía libre. Una verdad inconveniente.

¿Que es la energia libre o energia del punto cero?.
En terminos cortos la energía libre o del punto cero es producida atravez de la repulsión magnética de los imanes, lo que produce un movimiento perpetúo, es decir, es una fuente energética abundante, limpia y infinta (siempre y cuando exista campos magnéticos)
Aunque suene increíble y novedoso esto, esta alternativa es vieja, el genio y inventor desconocido Nikola Tesla* ya trabajaba con esta fuente de energía a comienzos del siglo XX.
Después de ver esto uno se preguntará ¿por que hasta el día de hoy aún se usa como elemento básico de combustible y de eléctricidad el petróleo? La respuesta es que la energía libre es incoveniente para la gente poderosa que controla el cartel energético mundial como es el caso de las petroleras que por ningún motivo querrán perder sus riquezas y por este afan codicioso de no querrer perder su dinero y poder han provocado que el avance del campo energético mundial se haya estancado y con su consiguiente daño tanto para el ser humano como el medio ambiente. Lo peor de todo esto es que el cartel tiene influencia en los gobiernos como es el caso de USA, que solo en este país muchos inventores de generadores de energía alternativas nunca han visto que sus aparatos salgan a la luz ya que o les compran la patente y no la comercializan o le destruyen su laboratorios o en el peor de los casos los asesinan en "lamentables accidentes" (en USA se tiene el registro de más de 100 inventores de energía alternativa que van desde motor a agua hasta de imanes).
Es por esto que es de viltal importancia presionar por este tipo de energía, fomentar su desarrolllo y aplicación ya que es la única via que tiene nuestra civilización para poder superar la crisis energética y de una vez por toda dejar de usar el petróleo y no tener que recurrir a la estúpidez de los biocombustibles.
Información tomada de : http://www.atinachile.cl/content/view/75894/Energia_Libre_Una_verdad_inconveniente.html
Más información sobre en : http://peswiki.com/

"Cafre" Moda con mensaje de conciencia global





Para que tengas una idea màs clara de nuestro proyecto, estamos elaborando una web : http://www.cafreplanet.com// (Todavía en construcciòn) Nuestra ropa es de un estilo sport Jeans + Camisetas, camisas, cazadoras con una filosofìa centrada en transmitir un mensaje de respeto hacia el planeta.
Por eso nos vamos a concentrar en productos de materiales reciclables o reciclados (Por ejemplo Algodón y no poliésteres.), utilizar envases de papel o tela. Además muchas de las prendas llevaràn un mensaje para que el consumidor adquiera conciencia global con el objetivo de que con la colaboraciòn de todos se puedan ir modificando habitos de consumo.

Biodiversidad


Noruega inaugura en el Ártico un banco de semillas con 100 millones de simientes
Cuenta con todo tipo de medidas de seguridad y de conservación.
Está construido bajo una enorme montaña que lo mantiene protegido.
Es un proyecto internacional que contendrá 2.000 millones de semillas.
Noruega
Una escena de las películas futuristas de grandes catástrofes: un grupo de personas recorre una Europa devastada para llegar a un edificio en el Ártico y poder volver a cultivar, a practicar la agricultura. Ese edificio que conserva la clave acaba de ser inaugurado y se llama Bóveda Global de Semillas de Svalbard, un enorme banco con 100 millones de simientes.
Está excavada a más de cien metros en el interior de una montañaEl proyecto permite la creación de un depósito seguro de bancos de duplicados de semillas de cultivos alimentarios, asegurando su supervivencia frente a fenómenos como el cambio climático y catástrofes naturales.
Situada cerca de Longyearbyen, en una isla del archipiélago noruego de Svalbard, la bóveda bautizada como "del fin del mundo" o "Arca de Noé", ha sido excavada a 130 metros de profundidad en una montaña de piedra arenisca, impermeable a la actividad volcánica, los terremotos, la radiación y la crecida del nivel del mar. Cantidad y variedad
La bóveda acogerá inicialmente 268.000 muestras distintas de semillas -de una capacidad total de 4,5 millones de muestras y unos 2.000 millones de simientes-, que han sido guardadas en paquetes sellados dentro de cajas cerradas herméticamente en cada una de las tres habitaciones en que se divide la cámara acorazada, situada al final de un corredor de 125 metros.
Las semillas permanecerán almacenadas a una temperatura de -18 ºC, que garantiza una baja actividad metabólica y un perfecto estado de conservación durante siglos; en caso de fallo eléctrico, el "permafrost" ártico (capa permanentemente helada) del exterior actuaría como refrigerante natural.
El exterior se ha decorado para facilitar su localización en cualquier circunstanciaSólo en caso de que todas las fuentes de semillas de un determinado tipo hayan sido destruidas o se hayan agotado podrán ser extraídas del almacén, a no ser que los países donantes -que son los propietarios de las simientes- así lo requieran.
El considerado depósito de semillas de cultivos alimentarios más completo del mundo cuenta con las máximas medidas de seguridad, y su techo y entrada han sido decorados por artistas noruegos con acero, y espejos, de modo que en verano refleje la luz polar y en invierno adquiera un tono verde turquesa y blanco, haciéndolo visible a cientos de metros de distancia.
Fuente : 20MINUTOS.ES
Más información en :http://pospost.blogspot.com/search/label/Ecosistema

El negocio de Biocarburantes aumenta la pobreza mundial


SEGÚN EL RELATOR DE LA ONU
Usar biocarburantes se ha convertido en un crimen contra la humanidad

Actualizado lunes 14/04/2008 16:56 (CET)

EFE
BERLÍN.- El relator de Naciones Unidas, Jean Ziegler, ha manifestado que el uso de biocombustibles se ha convertido en un "crimen contra la humanidad", en vista de los problemas que tiene actualmente el mundo con el precio de los alimentos.
Ziegler ha señalado que la quema de cientos de millones de toneladas de maíz, cereales, arroz y otros productos para producir biocombustibles era un factor primordial en las fuertes alzas de los precios de los alimentos, aunque admitió que no era el único.
Otros factores aludidos por Ziegler son la política del Fondo Monetario Internacional -que obliga a muchos países del tercer mundo a tener una agricultura orientada la exportación a costa de la economía de subsistencia- y la especulación en los mercados que ayuda a disparar el precio de los alimentos.
Alerta de la ONU
Ziegler advierte de que actualmente estamos en el umbral de una situación peligrosa en la que las revueltas por hambre pueden multiplicarse, protagonizadas por personas que luchan por su supervivencia y que temen por su vida.
Respecto a los biocombustibles, sostiene que los argumentos a favor de ellos, tanto desde el punto de vista de la protección del clima como desde el estratégico, no eran absurdos, pero que han perdido validez. "Los argumentos no tienen validez ante el desastre que nos amenaza. Hoy, el uso y fomento de biocombustibles es un crimen contra la humanidad", ha insistido Ziegler.
Las declaraciones de Ziegler se han producido después de que el Banco Mundial advirtiese de que el alza de los precios de los alimentos en todo el mundo generaba peligro de revueltas violentas en 33 países.
En algunos países, como Haití, ya se han registrado los primeros enfrentamientos, debido a los precios de los alimentos.

Fuente: http://www. elmundo.es//

Transgènicos


OMG (Organismo manipulado Genéticamente) en inglés GMO o también conocido como transgénico.
Que es un Transgénico:
Un transgénico es un organismo vivo que ha sido creado artificialmente manipulando sus genes. Las técnicas de ingeniería genética consisten en aislar segmentos del ADN (el material genético) de un ser vivo (virus, bacteria, vegetal, animal e incluso humano) para introducirlos en el material hereditario de otro.
Efectos
Medio ambiente y agricultura: Suponen un grave riesgo para la biodiversidad y tienen efectos irreversibles e imprevisibles sobre los ecosistemas. Salud: Los riesgos a largo plazo de los transgénicos presentes en nuestra alimentación no se están evaluando correctamente y su alcance sigue siendo desconocido. Surgen nuevos datos sobre el daño en mamíferos. Sociedad y economía: Refuerzan el control de la alimentación por parte de unas pocas empresas multinacionales. Destruyen la seguridad y la soberanía alimentaria. Efectos
Medio ambiente y agricultura: Suponen un grave riesgo para la biodiversidad y tienen efectos irreversibles e imprevisibles sobre los ecosistemas. Salud: Los riesgos a largo plazo de los transgénicos presentes en nuestra alimentación no se están evaluando correctamente y su alcance sigue siendo desconocido. Surgen nuevos datos sobre el daño en mamíferos. Sociedad y economía: Refuerzan el control de la alimentación por parte de unas pocas empresas multinacionales. Destruyen la seguridad y la soberanía alimentaria.
Más informaciòn en :http://www.geocities.com/la_cou/biotecno.html

China - Temporal de Nieve

El peor temporal de nieve sufrido en los últimos 50 años colapsa China
Carreteras cortadas, aeropuertos cerrados, pasajeros atrapados en las estaciones y fábricas y centrales térmicas funcionando a medio gas. China se encuentra totalmente colapsada a una semana de que comience el Año Nuevo Lunar, las vacaciones más importantes de este país y en las que se mueven cientos de millones de personas por tren, coche y avión.
Dicha parálisis se debe al peor temporal de nieve registrado en medio siglo, que ha afectado a 77,9 millones de personas en 14 provincias de China.
Según el diario oficial «China Daily», dentro de esos millones de afectados figuran 827.000 evacuados que han tenido que ser trasladados a lugares más seguros. Además, han quedado arruinados los cultivos en 4,22 millones de hectáreas y 399.000 casas han resultado totalmente dañadas, de las cuales 107.000 se han venido abajo.
El temporal ha provocado también numerosos accidentes de tráfico. En este sentido, durante las dos últimas semanas se han producido más de 50 muertos.

Desde el pasado día 12, cuando comenzaron las nevadas, el Gobierno calcula que el temporal ha causado daños por valor de 22.090 millones de yuanes (2.077 millones de euros), lo que supone 800 millones de euros más que el presupuesto oficial para la construcción de los estadios de los próximos Juegos Olímpicos de Pekín.

Pero, al margen de la repercusión económica, lo peor es que la nieve amenaza con hacer estallar el frágil equilibrio social chino, ya que ha alterado los planes de viaje de cientos de miles de viajeros, en su mayoría trabajadores emigrantes que proceden del mundo rural y que regresan a casa por estas fechas. Así, más de medio millón de personas permanecen bloqueadas en la estación de trenes de Guangzhou, una ciudad industrial de la provincia sureña de Guangdong donde sus numerosas fábricas atraen a los campesinos de las regiones más pobres del coloso oriental.

De momento, la zona más castigada por el mal tiempo es la provincia central de Hunan, donde 29,5 millones de sus habitantes se han visto afectados por el mal tiempo.

La Niña, posible culpable
Según Li Weijing, del Centro Climático Nacional de China, las nevadas podrían ser producto del fenómeno meteorológico conocido como La Niña, que, al contrario que El Niño, produce la llegada de climas árticos a zonas cálidas del planeta.
La nieve ha causado problemas “en todos los aspectos de la vida” a los habitantes de las zonas afectadas, desde las telecomunicaciones (30 millones han perdido la comunicación vía móvil) a la energía (falta de carbón y cortes de suministro) e incluso las vacaciones.

Fuente: ABC

Enfriamiento Global

La teoría del enfriamiento global por la hibernación solar
Según la observación de los expertos, el denominado “Ciclo Solar 25 comenzará a partir de 2022″, y éste implicará uno de los periodos de actividad solar “más débiles desde hace siglos”. Ahora, el Space and Science Research Center (SSRC) de Florida acaba de confirmar la teoría anunciada por la NASA. Según el director de este organismo, John Casey, los cambios que experimenta la superficie del Sol son “el resultado de ciclos que provocan oscilaciones climáticas que varían desde el enfriamiento al calentamiento una y otra vez” en el planeta Tierra.
El calentamiento climático que sufre el planeta, de apenas 0,017 grados centígrados al año, según las mediciones que desde 1979 realizan los satélites en diferentes niveles de la atmósfera terrestre –estimaciones mucho más precisas que las realizadas en la superficie–, podría mutar hacia el inicio de una nueva era glaciar o, al menos, de enfriamiento global. La causa de este particular proceso respondería a los distintos ciclos de actividad que cada cientos o, incluso, miles de años, registra el Sol.
Deceleración
El SSRC de Florida acaba de confirmar una teoría sobre la reducción de la actividad solar avanzada por la NASA en 2006. Entonces, la entidad científica más prestigiosa del planeta en materia de investigación espacial detectó un particular fenómeno: “La superficie del Sol está experimentando importantes cambios” que podrían tener “repercusiones sustanciales sobre la futura actividad solar”. “Normalmente, el cinturón solar avanza a una velocidad media de 1 metro por segundo. Sin embargo, en los últimos años, se ha decelerado hasta los 0,75 metros por segundo en su parte norte y hasta 0,35 en el sur. Nunca hemos observado una velocidad tan baja”, afirmaba entonces la NASA. De acuerdo con esta teoría, puesto que la velocidad de dicho cinturón influye en la intensidad solar, “un cinturón lento implica una actividad solar más baja”, según los científicos del organismo espacial estadounidense.
Por ello, “se avecina un nuevo cambio climático”, pero, a diferencia de lo defendido por la ONU y los grupos ecologistas, provocará “un periodo de intenso frío en el planeta”. El departamento que dirige Casey afirma que la alternancia de los distintos ciclos solares a lo largo de los últimos 1.100 años influye de forma directa en las temperaturas que registra la Tierra en una probabilidad superior al 90%, según el estudio de SSRC. La llegada del Ciclo 25, tal y como anunció la NASA, provocará un “enfriamiento global”. Un fenómeno que Casey no duda en denominar “hibernación solar”. De hecho, según esta misma teoría, “no resultaría extraño que se registrasen temperaturas más altas en el planeta justo antes de que éstas caigan de forma drástica”, advierte. Algo que coincidiría con el proceso de calentamiento global que acontece en la actualidad. Este organismo prevé que la “llegada de una peligrosa era glaciar” se producirá en apenas 20 ó 30 años.
Debilidades del IPCC
De confirmarse, este fenómeno desmontaría toda la teoría del calentamiento que tanta preocupación ha generado a lo largo de los últimos años, y cuya causa, según la ONU, se debe a la actividad humana: la emisión de gases de efecto invernadero a la atmósfera. De este modo, el supuesto consenso científico presenta, en realidad, grandes debilidades. El documental El gran timo del cambio climático, dirigido por el británico Martin Durkin, ya adelantaba una teoría muy similar basada en la opinión de diversos científicos repudiados por el IPCC. La Academia de Ciencias Rusa reafirmó también la importancia de la actividad solar en el clima del planeta: “Se avecina una glaciación”, advirtieron.
Las ‘pequeñas Edades de Hielo’
El enfriamiento climático de la Tierra debido a la relajación de la actividad solar no es nuevo: en el último milenio ha habido varios de estos ciclos bien documentados. Los últimos son el Mínimo Spörer (1420-1570), el Mínimo Maunder (1645-1715) y el Mínimo Dalton (1790-1820). En España, estos periodos glaciales en miniatura hicieron que se vieran hielos flotantes en Baleares, en la primera semana de 1697, o las reiteradas ocasiones en las que el río Ebro se congeló junto al mar, en Tortosa, en diciembre de 1506, cuando la gente lo cruzaba a pie.

Fuente: Expansión

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Tropical Deforestation


Stretching out from the equator on all Earth’s land surfaces is a wide belt of forests of amazing diversity and productivity. Tropical forests include dense rainforests, where rainfall is abundant year-round; seasonally moist forests, where rainfall is abundant, but seasonal; and drier, more open woodlands. Tropical forests of all varieties are disappearing rapidly as humans clear the natural landscape to make room for farms and pastures, to harvest timber for construction and fuel, and to build roads and urban areas. Although deforestation meets some human needs, it also has profound, sometimes devastating, consequences, including social conflict, extinction of plants and animals, and climate change—challenges that aren’t just local, but global. NASA supports and conducts research on tropical forests from space-based and ground-based perspectives, helping provide the information that national and international leaders need to develop strategies for sustaining human populations and preserving tropical forest biodiversity.
Impacts of Deforestation: Biodiversity Impacts
Although tropical forests cover only about 7 percent of the Earth’s dry land, they probably harbor about half of all species on Earth. Many species are so specialized to microhabitats within the forest that they can only be found in small areas. Their specialization makes them vulnerable to extinction. In addition to the species lost when an area is totally deforested, the plants and animals in the fragments of forest that remain also become increasingly vulnerable, sometimes even committed, to extinction. The edges of the fragments dry out and are buffeted by hot winds; mature rainforest trees often die standing at the margins. Cascading changes in the types of trees, plants, and insects that can survive in the fragments rapidly reduces biodiversity in the forest that remains. People may disagree about whether the extinction of other species through human action is an ethical issue, but there is little doubt about the practical problems that extinction poses.